AMERICAN GRAFFITI (1974) et l’Americana dans le rétroviseur de George Lucas

Aussitôt occulté par l’ombre de Star Wars, le deuxième long-métrage de George Lucas mérite que l’on y rejette un coup d’œil. À travers le prisme faussement nostalgique envers la décennie précédente, American Graffiti se révèle surtout par sa reconstitution d’une fin de l’innocence rituelle et révolue, observée depuis cette Amérique traumatisée du début des années 70.

Sorcerer, sur le toit du monde

Après sa superbe édition de la director’s cut du Convoi de la peur alias Sorcerer de William Friedkin par La Rabbia, Samuel Blumenfeld a remonté la piste des errements de la production infernale de ce film maudit, à travers un ouvrage aussi beau que passionnant. Voyage au bout de la folie d’un cinéaste…

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