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Lumière du jour – le quotidien du Festival Lumière
« Lumière du jour » est le podcast quotidien du Festival Lumière par Revus & Corrigés, chaque jour à 18h, du 11 au 17 octobre.
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Nouvelle saison ! Et une question : quel est le point commun entre Eve, Les Désaxés et Fenêtre sur cour ? Réponse : Thelma Ritter, grand second rôle américain des années 50-60, proche de Mankiewicz et Hitchcock. Originaire de Brooklyn, l’actrice incarna des personnages gouailleurs, clairvoyants et inoubliables.
À l’occasion de la sortie en salles de neuf films en version restaurée de Roberto Rossellini depuis le 30 juin, Antoine Jullien raconte la vie et l’œuvre du cinéaste, le père du néoréalisme, l’inspirateur de la Nouvelle Vague et le pygmalion d’Ingrid Bergman.
L’idée d’Hollywood Breakdown correspond à un moment du cinéma américain mal identifié, quelque part entre la fin des années 1950 et la fin des années 1960. Avant ce que conventionnellement, on appelle le Nouvel Hollywood. Il y a dans ces années-là un corpus de film, assez imposant si l’on accepte de les réunir malgré leurs différences, mettant en scène un mal être profond qui gagne les États-Unis et remet en question l’American Way of Life.
Première actrice afro-américaine à signer un contrat de longue durée avec la MGM, Lena Horne arrive à Hollywood au début des années 40 pleine d’espoirs et de rêves de cinéma. Confrontée au racisme et à la ségrégation raciale, sa carrière ne décollera jamais et elle devient alors une figure du Mouvement des Droits Civiques dans les années 60.
En 1966, Truman Capote publie De Sang froid, un best-seller international et un classique de la littérature américaine qui relate l’assassinat d’une famille dans une petite ville du Middlewest. À peine le livre était-il dans les librairies que les studios hollywoodiens s’arrachèrent les droits d’adaptation. Et c’est le réalisateur Richard Brooks qui réussit brillamment à transposer en images les mots de Truman Capote. À l’occasion de la sortie de De sang-froid en DVD Blu-Ray chez Wild Side, Antoine Jullien raconte la genèse de cette tragique histoire criminelle, qui marqua aussi l’avènement du roman vérité.
En partenariat avec Wild Side, Revus & Corrigés fait gagner trois exemplaires du médiabook de De sang-froid, de Richard Brooks (1967).
Le rapport entre le cinéma expressionniste allemand et Orson Welles n’est pas qu’esthétique. Les archives du Filmmuseum de Munich, dirigé par Stefan Drössler, particulièrement riches sur ces deux pans de l’industrie, ont contribué à créer ce lien. L’institution bavaroise est au cœur de nombreuses restaurations et occupe une place importante dans la préservation du cinéma mondial.
Sarah Maldoror fut une réalisatrice touche-à-tout, autrice d’une œuvre forte de plus de 40 films, passionnée de politique, poésie, peinture, jazz. Témoin de la décolonisation dans de nombreux pays comme l’Algérie, l’Angola et la Guinée-Bissau, elle s’est servie de sa caméra pour porter la parole des peuples africains et antillais, en quête d’émancipation et de représentation.
Le cinéaste polonais Andrzej Zulawski n’était pas un réalisateur aimable et ses films, extravagants et tapageurs, ont souvent divisé la critique et le public. Dans ce 6ème épisode, Antoine Jullien examine d’un peu plus près le cas Zulawski à travers ses deux œuvres les plus emblématiques : L’Important c’est d’aimer avec Romy Schneider et Possession édité récemment en Blu-Ray chez Le Chat qui fume.
Avec 6 films, la réalisatrice d’origine argentine a créé une œuvre à son image : libre, révolutionnaire, décalée et érotique. Ce 4e épisode retrace le parcours de cette femme hors du commun, cinéaste, écrivaine, critique d’art, qui fut proche d’Abel Gance, de Picasso et des surréalistes.
Dans ce cinquième épisode, Antoine Jullien explore la genèse éclatante et contrariée du Parrain de Francis Ford Coppola, à l’occasion de la sortie en DVD/Blu-Ray chez Paramount d’un nouveau montage du Parrain 3, le mal aimé de la trilogie.
Dans les années 70, la relation entre Suzanne Schiffman et François Truffaut se renforce. Elle coécrit ses scénarios et l’assiste à la mise en scène, jusqu’au décès de ce dernier en 1984. Suzanne Schiffman prend ensuite son envol, mais l’indépendance n’est pas si facile à acquérir pour la cinéaste.
Dans ce quatrième épisode, Antoine Jullien vous raconte l’histoire de quelques unes des salles les plus emblématiques de la capitale. A l’heure où ces sanctuaires du 7ème art sont toujours fermés, quoi de mieux que de nous remémorer leur passé prestigieux et mouvementé, leur destinée parfois funeste, parfois miraculeuse, et de rendre hommage à ces lieux irremplaçables où le cinématographe brille et continuera à briller de mille feux.
Figure majeure de la Nouvelle Vague, proche de Jean-Luc Godard, Jacques Rivette et François Truffaut, Suzanne Schiffman a officié auprès de ce dernier pendant plus de 20 ans, en tant que scripte, assistante, scénariste et bras droit. Avec elle, Truffaut trouvait soutien, solutions et inspiration. Sans elle, il n’aurait sans doute pas eu la même carrière.
Le reconfinement nous invite de nouveau, un vendredi sur deux, à interroger les professionnels du cinéma, qui rencontrent, comme nous, de grands changements dans leurs activités et de nouveaux enjeux. Sur YouTube et sur Facebook, le rendez-vous est donné.
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Dans ce troisième épisode, Antoine Jullien retrace le parcours chaotique et romanesque de Milos Forman, de la Tchécoslovaquie aux États-Unis, de ses œuvres de jeunesse aux chefs d’œuvre qui ont fait sa gloire.
Le reconfinement nous invite de nouveau, tous les vendredis à interroger les professionnels du cinéma, qui rencontrent, comme nous, de grands changements dans leurs activités et de nouveaux enjeux. Sur YouTube et sur Facebook, le rendez-vous est donné.
Réalisatrice américaine inconnue des cinéphiles français, le cinéma de Joan Micklin Silver, se caractérise par une description de la société américaine à travers ses communautés, qu’elles soient professionnelles, religieuses, familiales, faisant de la cinéaste une grande portraitiste des mœurs américaines.